Est un état conscient, entre sommeil et éveil, pendant lequel les muscles sont relachés.
Le cerveau est alors en pleine possession de ses moyens, disponible pour "réparer", construire et libérer son bienfait.

Le pouvoir dépolluant des plantes vertes

Utile au regard du cocktail de molécules toxiques qui flotte dans l'air de nos maisons et bureaux, et des liens aujourd'hui prouvés entre cette pollution et l'augmentation de certaines maladies.

Aglaonema : très facile à cultiver, cette plante rustique ne demande pas grand chose et supporte même les pièces sombres. Pour les paresseux(ses) ?
Areca : ce grand palmier est très efficace contre les solvants (toluène, xylène...)
Azalée : facile d'entretien, cette jolie plante fleurie élimine particulièrement bien l'ammoniaque (produits d'entretien, fumée de tabac...).
Chlorophytum : courant et très facile à entretenir, le chlorophytum dégrade bien le monoxyde de carbone. A placer dans les pièces chauffées au bois.

Chrysanthème : bon dépolluant général. Et en plus, il fleurit !
Nephrolepis : cette fougère facile à cultiver est idéale contre le formaldéhyde.
Ficus elastica : c'est le caoutchouc, l'un des meilleurs dépolluants, très agréable par sa luxuriance.
Lierre : également championne toutes catégories, cette plante grimpante supporte les pièces peu lumineuses.
Spathiphyllum : superbe, cette plante qui a servie de référence à de nombreuses expériences est l'une des plus performantes.

Contrairement aux idées reçues il n'est pas nocifs d'avoir une plante dans sa chambre. Certaines plantes ont tout à fait leur place à côté de notre lit. Il faut bien entendu se renseigner un peu avant afin d'éviter les plantes toxiques ou, à trop fortes odeurs !

Il est conseillé, pour un fonctionnement "optimal" de mettre une plante dépolluante pour 9m². Cependant ce chiffre varie selon la taille de la plante, si la plante est belle (beau feuillage, grande envergure...), on peut multiplier la surface par deux.

Le principe de fonctionnement des plantes dépolluantes reposent sur l'échange gazeux. Les gaz nocifs sont absorbés par les feuilles et transformés en produits organiques par des micro-organismes (dans les racines). Ces produits organiques sont ensuite ré ingérés par la plante (ce qui la nourri).

D'autre part la plante "transpire" elle libère donc de l'eau qui participe à l'humidification de la pièce. Plus les feuilles sont large plus l'échange gazeux est important et donc

Voici comment les plantes nettoient l’air. Les polluants de l’air sont absorbés par les feuilles, la plante émet de la vapeur d’eau par un processus nommé transpiration et améliore le taux d’humidité de la maison. Des micro-organismes vivant dans les racines convertissent alors les polluants en produits organiques qui servent à nourrir les plantes. Plus les plantes sont grosses, plus la surface de feuille est importante et plus l’échange gazeux est important. Les plantes les plus efficaces pour dépolluer l’air sont :  l’Aloe vera et le Philodendron, qui éliminent respectivement 90% et 86% du formaldéhyde.

Le Philodendron qui élimine aussi le pentachlorophénol, l’Azalée élimine quant à elle l’ammoniac, le Chrysanthème élimine le trichloréthylène, le Chlorophytum élimine le monoxyde de carbone, le Lierre élimine le benzène.

Selon les dernières mesures réalisées en laboratoire l’Aglaonema neutralise 48 % du benzène et 92 % du toluène, l’Aracaena marginata 78 % du benzène et 60 % du formaldéhyde, la Sansevieria 53 % du benzène...

L’efficacité maximum est obtenue par un minimum de une plante par 9 m2. La multiplicité des plantes et leur grosseur assurent un résultat proportionnellement plus important.

Les plantes peuvent être installées dans toutes les pièces y compris les chambres. En effet, malgré une idée reçue, le rejet en monoxyde de carbone la nuit par les plantes d’intérieur est négligeable en comparaison à la quantité d’oxygène rejetée dans la journée.